| | La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny | |
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Denytza Caldwellest un nouvel habitant
welcome to the city : 11/04/2016 dialogues : 58 âge irl : 25 crédits : WILD HEART. études / métier : Etudiante en médecine plutôt famille ou amis : Les deux ! Pourquoi s'embêter à choisir ?
| Sujet: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Lun 11 Avr - 22:18 | |
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CALDWELL DENYTZANOM : Caldwell PRENOM : Denytza ÂGE : 23 ans. PROFESSION/ETUDES : Étudiante en médecine. ORIGINES : Américaine, née à Sacramento. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. STATUT CIVIL : Célibataire. CARACTERE : Souriante, gentille, perfectionniste, maniaque, ambitieuse, bavarde, coquette, amicale. GROUPE : How I Met Your Mother AVATAR : Emilie Nereng CREDITS : TumblrPour toi, la famille représente quoi ? La famille c'est... C'est bien plus qu'un simple mot identique derrière un prénom différent sur la carte d'identité, la famille c'est la base. Par dessus le lien du sang, il y a un ensemble de personnes géniales, qui s'aiment et parfois se détestent. La famille c'est un tout, un ensemble, certes, un peu chaotique à certain moment, mais tout de même soudé. Faire parti de la famille c'est être là pour tous les autres quoi qu'il arrive, à n'importe quel moment. Hélas, la famille Caldwell n'est plus composée que d'Elyas, mon frère, et de moi maintenant. Il y a aussi mes deux cousines adoptives avec qui je partage mon appartement, mais nous n'avons aucun lien de sang même si dans mon cœur elles sont des plus importantes Les amis, sont une seconde famille selon toi ?Bien évidement ! Une famille, c'est avant tout un groupe de personnes qui partagent des liens. Il y a évidemment les liens familiaux, auxquels on ne peut échappé. On ne choit pas sa famille après tout. Mais il y a une autre sorte de lien. On peut aussi former une famille avec d'autres personnes dont on est vraiment proche. Les amis sont vraiment une sorte de famille quand on y pense. Quoiqu'il en soit, les membres d'une même famille se soutiennent en général et quoi qu'il en coûte. C'est ça qui fait leur force. Ma famille, c'est ça un mélange de ceux qui partagent mon sang et de ceux auxquels j'ai accordé ma confiance avec le temps.
TOI, DERRIÈRE L'ECRANHollow972 Sur internet, mon pseudo est Hollow972/Steph Dans la vie réelle, j'ai 17 ans. Comment avez-vous connu le forum ? Par deux folles que j'ai suivie comme un petit chien. Avez-vous autre chose à évoquer concernant le forum ? Il est Magnifique ?. Sur le forum, mon activité sera de 2/7 - Je ne serais là que le weekend en période scolaire car je suis interne au lycée, sinon je passerais le plus souvent possible.
Dernière édition par Denytza Caldwell le Lun 11 Avr - 23:45, édité 5 fois |
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Denytza Caldwellest un nouvel habitant
welcome to the city : 11/04/2016 dialogues : 58 âge irl : 25 crédits : WILD HEART. études / métier : Etudiante en médecine plutôt famille ou amis : Les deux ! Pourquoi s'embêter à choisir ?
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Lun 11 Avr - 22:19 | |
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ON A TOUS UNE HISTOIRE Vous vous demandez certainement qui je suis, d’où je viens, quel est mon tour de poitrine, avec combien de… Ah non ? Juste qui je suis ? Très bien, soyons bref. Par où commencer ? C’est la grande question qui pèse sur toute entreprise de narration, celle sur laquelle nous réfléchissions sans relâche en cours. Quel est le point de départ d’une histoire ? À moins de rédiger une saga qui se déroule du berceau à la tombe, une histoire débute généralement alors que le héros ou l’héroïne est déjà bien avancé dans l’existence de sorte que dès le point de départ, vous accompagnez cet individu à travers son récit tout en découvrant peu à peu les événements et les circonstances qui l’ont modelé dans le passé. Moi, je jouerais sur la banalité, commençant simplement par le début et terminant... Ne se terminant pas vraiment en fait. Car mon histoire n’est pas encore finie, sinon comment pourrais-je écrire ce devoir pour vous cher professeur de littérature.
Je suis née un jour au beau milieu du mois de février dans un hôpital de Sacramento. Mes parents étaient des gens tout à fait normaux. Ils s’aimaient, et ce, depuis bien avant ma naissance. J’avais aussi un grand frère que j’aimais et que j’aimerais sûrement jusqu'à la fin de mes jours. Il n’y avait jamais de rivalité entre nous, mis à part quelques petites disputes insignifiantes… La raison ? Peut-être grâce à notre grande différence d’âge. Et oui, dix ans, ce n’était pas rien. Pendant deux ans, j’avais connu une vie magnifique. Mon père gagnait beaucoup d’argent et nous étions heureux. Nous habitions dans une superbe maison dont… Je ne me souviens même pas… En réalité, j’étais bien trop jeune pour me rappeler cette époque de gloire de ma famille, mais Elyas, lui, a pu me la décrire… Et ce jour-là, je me suis surprise à regretter une époque que je n’avais même pas réellement connue… Car tout ce dont je me souviens, moi, c’est d’un quartier minable, d’une demeure pourrie et de voisins horribles et effrayants. L’endroit était vraiment mal fréquenté, immonde. Pourquoi ce changement radical de monde ? Car il avait perdu… Oui, mon père avait perdu notre belle et ravissante vie quand il avait perdu son travail. Nous n’avions pas le choix, nous étions obligés de déménager, car l’argent que nous aurait demandé l’entretien de la demeure devait nous servir à autre chose… Des choses bien plus importantes d’ailleurs… Pour nous nourrir, aller à l’école, payer les impôts par exemple. Le strict nécessaire pour reprendre le train-train d’une nouvelle vie. Certes, une vie bien moins réjouissante, mais une vie tout de même. Je grandissais tant bien que mal dans cet univers étrange et inquiétant, mais je faisais avec. Une fois le bon âge atteint, j’entrais à l’école où je commençais réellement à me faire des amis. Je profitais de mes moments là-bas, car cela m’éloignait un peu de l’atmosphère qui régnait chez moi. Je n’étais qu’une insouciante petite blondinette avec de jolies couettes à cette époque, pourtant, je me concentrais et essayais déjà de devenir la meilleure. Bon, c’est vrai, mes réussites se limitaient au titre de meilleure dessinatrice de moutons roses et à celui de première empileuse de cube en bois, mais ce n’était que le début !
Je m’étais faite à cette vie, elle était la mienne après tout. Nous étions à nouveau dans une situation assez stable, quoi que pas très envieuse, mais nous nous en sortions plutôt bien, jusqu’au jour où tout dérapa. Et oui une nouvelle fois ! Comme si une n’avait pas suffit ! J’avais alors neuf ans. Ce n’était plus notre situation financière qui s’écroulait petit à petit, mais la relation entre mes parents. Qui aurait cru que mon père trompait ma mère ? Personne en s’y attendait et pourtant, cela durait depuis déjà six mois quand ma génitrice s’en était rendu compte. À l’époque, je ne savais pas trop ce que cela voulait dire, mais je comprenais très bien que c’était grave. Je n’étais pas idiote, je voyais bien dans l’état dans lequel était ma mère. Elle avait du mal à pardonner son geste à mon père. Avec du recul, je comprenais un peu ce qu’elle avait dû ressentir, la trahison que cela avait dû repenser pour elle. Il était son mari quand même ! J’imagine qu’ils en ont longuement discuté, il ne m’en reste que de vague souvenir cependant, je ne crois pas qu’il y avait eu de grosses disputes dans la maison… Elle l’avait supporté, difficilement, mais elle l’avait fait. En revanche quand la maîtresse de mon père avait débarqué en nous annonçant l’arrivée imminente d’un nouveau dans la famille, là, la pilule n’était pas passée. Et c’est le moins que l’on puisse dire. Pendant deux semaines, ma mère n’avait dit un mot à personne. Je ne comprenais vraiment pas qu’il se passait et j’en encore moins compris la suite. Oui, car elle l’a tué. Qui ? Et bien mon père. Vraiment, ma mère avait pété un câble et elle l’avait tué. Il avait finalement décidé de nous abandonner pour aller vivre sa nouvelle idylle avec sa nouvelle compagne. Déjà, quel père ferait ça à ses enfants ? Franchement rien qu’à cause de lui notre famille n’aurait pas eu de fin heureuse. Seulement, il n’avait pas eu le temps de s’enfuir, car elle l’avait assassiné. La femme qui était censée me servir de modèle avait commis un geste irréparable dans notre propre maison alors que mon frère et moi étions ensemble à l’étage ! Quelle éducation ! Après ça, j’étais… Traumatisée ? Oui, mais j’étais surtout orpheline. Ma mère fut tout naturellement conduite en prison pour son crime nous laissant donc Elyas et moi sans famille. Heureusement et par je ne sais quel miracle, nous avions été placés ensemble. Il ne restait plus nous deux, les deux derniers Caldwell… Je ne sais pas ce que j’aurais fait si j’avais été séparé de mon frère, à cette époque, il était le seul auquel je faisais confiance, le seul auquel je pouvais parler des cauchemars que je faisais… Nous avons donc déménagé, encore. Dans une famille dans laquelle nous restâmes deux ans, le temps que mon aîné devienne majeur. Ensuite… Nous fîmes une ultime fois nos cartons, quittant totalement Sacramento pour débarquer à San Fransico en emménageant ensemble. Nous nous étions fait des amis, de plus, la ville nous plaisait vraiment à tous les deux. Je commençais à trouver mes marques alors nous sommes resté. Je redevenais heureuse et pour la première fois depuis bien longtemps, j’étais une petite fille normale.
Qui aurait imaginé qu’environ cinq ans plus tard, le destin décide de me rejouer encore un mauvais tour ? Pas moi en tout cas ! Je n’avais que seize ans et pourtant, j’étais confronté à un nouveau problème... Et il était de taille ! Je n’avais que seize ans et face à ce problème, j’étais toute seul. Enfin non, nous étions deux… Et justement, c’était là que ça clochait. J’étais enceinte… Et je ne pouvais en parler à personne. Le père ? Ce n’était qu’un abruti. Que j’avais malheureusement aimé. Ce que l’on pouvait être bête quand on était jeune… Il était ma première fois et j’avais été idiote de croire qu’il pouvait être le bon. L’homme de ma vie, en fait. Je m’étais fait des films, comme toutes les jeunes femmes de mon âge. Je rêvais de la vie parfaite que je pourrais peut-être avoir avec lui… L’idiote que j’étais s’était laissé avoir par ce beau sourire charmeur et était tombée dans son filet. Le temps d’une seule nuit ou pas en fait… Mais une seule semblait suffire à lancer la machine démoniaque et puisqu’il n’y en avait pas eu qu’une seule... J’étais perdue. Cet abruti avait refusé de me revoir après m’avoir largué comme une vielle chaussette sale. J’étais seule… Je ne pouvais pas en parler à mon frère, déjà que j’avais eu du mal à lui expliquer les rares fois où j’avais découché… Je ne pouvais pas lui avouer que j’étais enceinte à mon âge… Il n’allait pas le supporter… Déjà que j’avais du mal à le faire moi-même. L’avortement ? J’avais essayé. Seulement, je ne m’étais aperçu de ma grossesse que trop tard pour ça. Bah quoi ? Je ne m’y attendais pas du tout. Je pensais être malade pas enceinte ! J’en étais déjà presque à mon troisième mois quand j’avais réellement réalisé. Ça ne se voyait pas trop, car personne d’autre ne s’en était rendu compte. Je n’avais pas su quoi faire… Heureusement, Elyas était parti pour un long voyage. Je n’avais donc pas besoin de lui expliquer pourquoi mon ventre se mettait à gonfler comme une pastèque. Je me contentais de lui mentir quand il m’appelait de son centre de soin. Il était mon tuteur légal, seulement, il était tellement loin que presque personne ne pensait à faire appel à lui quand il s’agissait d’autorisation pour moi. Il avait mis mon école au courant de son absence. J’étais donc tranquillement toute seule… Oui, j’avais mon indépendance avant l’heure. Ce n’était pas vraiment mérité, pour des raisons évidentes, mais ça, il n’avait pas besoin de le savoir, il me faisait confiance. Le pauvre… S’il savait… Je continuais d’aller en cours jusqu’au moment où je ne rentrais plus du tout dans mes jeans et où mes t-shirts amples ne cachèrent plus mon ventre en expansion. J’étais de plus en plus nauséeuse. Ce qui me permit de fournir des preuves solides, si je pouvais dire ça comme ça, quand on me demanda de fournir un motif pour mon absence. Seulement… Je savais que j’allais devoir rester loin de l’établissement pendant longtemps… Encore quatre mois en fait. Du coup, j’avais pris rendez-vous avec la directrice de l’époque pour lui expliquer ma… Situation délicate. C’était une femme géniale, elle m’avait tout de suite comprise et m’avait même aidé à m’en sortir. Elle m’avait fait promettre de n’en parler qu‘à une seule de mes amies pour qu’elle se charge de me donner ses cours, j’avais aussi dû lui promettre de travailler dure même si j’étais chez moi. En échange, elle m’avait aidé en me faisant passer tous les examens, le soir, une fois que tous les autres élèves qui me croyaient malades étaient partis. Je ne pouvais rien demander de mieux ! Pendant les quatre mois qui suivirent, je n’arrêtais pas, je jonglais entre l’hôpital et mes devoirs. Je prenais mon travail et ma grossesse au sérieux. Je tenais à ce que ma moyenne reste la plus haute possible, malgré ma fatigue, je bossais parfois tard le soir pour rester au niveau sans assister aux cours. Battante jusqu’au bout, je ne lâchais rien. J’accouchais prématurément un matin à l’hôpital où je m’étais rapidement rendu garce à cette superbe amie qui me donnait ses cours, j’en étais à peine à neuf mois. Ce fut long, difficile, mais je finis par y arriver. Le bébé et moi, nous en sortîmes saints et sauf. C’était une petite fille, m’avait dit une des sages-femmes. Restait à savoir ce que j’allais faire d’elle, de mon enfant… Je ne pouvais pas la garder. Non, c’était impossible, je ne me sentais pas prête à être mère à mon âge. Je n’étais encore qu’une gamine, je le savais, il n’y avait qu’à regarder comment je m’étais mise dans cette galère. Je ne pourrais pas m’en occuper. Je ne pourrais pas non plus l’expliquer à mon frère et encore moins continuer à suivre mes cours à distance bien longtemps. Non, cela avait assez duré. L’idée d’abandonner ce petit bout de moi… Ça me fait mal au cœur, mais elle n’avait pas d’avenir avec moi. Je la laissais donc au soin du centre d’adoption. Après une semaine de remise en forme à l’hôpital, je retournais en cours, comme si de rien n’était. Au retour d’Elyas, j’étais toujours la même pour lui, alors qu’au fond, je venais de subir l’épreuve la plus importante de ma vie. Je me sentais toujours moi, mais avec un truc en plus. Je me suis promis de ne plus me laisser avoir par les mecs comme mon ex de l'époque. Et puis j’ai grandi, je suis devenue de plus en plus forte, de plus en plus combattante, déterminée. J'ai même décidé de me lancer dans des études de médecine. Seulement, pas un jour ne se passe sans que je songe à ma petite fille qui ne connaîtra jamais sa mère… Et ce, depuis maintenant sept ans…
Voilà, en espérant que votre lecture a été agréable. Monsieur, je compte sur vous pour votre discrétion. Vous nous avez demandé de vous livrer un secret, en voilà plusieurs pour satisfaire votre plaisir sadique.
Amicalement, Denytza.
Dernière édition par Denytza Caldwell le Jeu 21 Avr - 23:01, édité 3 fois |
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Cataleya Summersest un nouvel habitant
welcome to the city : 10/04/2016 dialogues : 156 double compte : Pas Encore crédits : Poison Ivy études / métier : Kinésithérapeute plutôt famille ou amis : Les deux
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Lun 11 Avr - 22:19 | |
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Binky Mackintoshest un nouvel habitant
welcome to the city : 11/04/2016 dialogues : 132 âge irl : 33 double compte : aucun double compte. crédits : tearsflight études / métier : escort girl et étudiante en médecine plutôt famille ou amis : c'est mitigé et ça dépend de qui dans ma famille, mais plus ami.
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Lun 11 Avr - 22:20 | |
| bienvenue ma cousine t'es trooop bonne !! |
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Izia Morelloest un nouvel habitant
welcome to the city : 10/04/2016 dialogues : 80 crédits : merenwen études / métier : animatrice radio, elle charme vos oreilles avec son accent italien tous les jours de semaine de 13h à 19h plutôt famille ou amis : les deux, pourquoi s'embêter à choisir ?
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Lun 11 Avr - 22:28 | |
| Bienvenue parmi nous jolie blonde |
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Denytza Caldwellest un nouvel habitant
welcome to the city : 11/04/2016 dialogues : 58 âge irl : 25 crédits : WILD HEART. études / métier : Etudiante en médecine plutôt famille ou amis : Les deux ! Pourquoi s'embêter à choisir ?
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Lun 11 Avr - 22:53 | |
| Merci beaucoup les filles |
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Charlotte Jonesest un nouvel habitant
welcome to the city : 10/04/2016 dialogues : 138 crédits : Money Honey. études / métier : Editrice. plutôt famille ou amis : La famille, ils sont tout pour moi.
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Levi Carstairsest un nouvel habitant
welcome to the city : 10/04/2016 dialogues : 58 crédits : cosmic light (avatar) weheartit (gifs) études / métier : co-propriétaire d'un bar glacier plutôt famille ou amis : amis
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Denytza Caldwellest un nouvel habitant
welcome to the city : 11/04/2016 dialogues : 58 âge irl : 25 crédits : WILD HEART. études / métier : Etudiante en médecine plutôt famille ou amis : Les deux ! Pourquoi s'embêter à choisir ?
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Lun 11 Avr - 23:48 | |
| Merci ! Vous êtes trop canons en plus... |
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Lana Castellanest un nouvel habitant
welcome to the city : 10/04/2016 dialogues : 250 double compte : simon. crédits : alaska. études / métier : mannequin. plutôt famille ou amis : les amis.
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Ileana Vasilisest un nouvel habitant
welcome to the city : 10/04/2016 dialogues : 54 crédits : savage. études / métier : infirmière urgentiste plutôt famille ou amis : la famille avant tout
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Mar 12 Avr - 1:37 | |
| J'adore le titre ! Bienvenue par ici |
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Midona Rhodesfait partie de l'équipe de choc
welcome to the city : 23/03/2016 dialogues : 316 double compte : Aucun crédits : merenwen études / métier : Pompier plutôt famille ou amis : Ton frère passera toujours avant les autres
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Mar 12 Avr - 9:04 | |
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Nola Hemingwayest un nouvel habitant
welcome to the city : 10/04/2016 dialogues : 70 crédits : hepburns études / métier : clerc de notaire plutôt famille ou amis : famille & amis
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Mar 12 Avr - 9:47 | |
| le choix de l'avatar est dingue bienvenue |
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Denytza Caldwellest un nouvel habitant
welcome to the city : 11/04/2016 dialogues : 58 âge irl : 25 crédits : WILD HEART. études / métier : Etudiante en médecine plutôt famille ou amis : Les deux ! Pourquoi s'embêter à choisir ?
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Midona Rhodesfait partie de l'équipe de choc
welcome to the city : 23/03/2016 dialogues : 316 double compte : Aucun crédits : merenwen études / métier : Pompier plutôt famille ou amis : Ton frère passera toujours avant les autres
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Denytza Caldwellest un nouvel habitant
welcome to the city : 11/04/2016 dialogues : 58 âge irl : 25 crédits : WILD HEART. études / métier : Etudiante en médecine plutôt famille ou amis : Les deux ! Pourquoi s'embêter à choisir ?
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Mar 12 Avr - 15:26 | |
| Trop bien ! Merci |
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Noah Walshest un nouvel habitant
welcome to the city : 10/04/2016 dialogues : 62 crédits : tumblr
| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny Mar 12 Avr - 16:01 | |
| Hello toi bienvenuuuue! |
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| Sujet: Re: La fragilité du cristal ne le rend pas faible, elle le rend délicat - Deny | |
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