I have a theory that selflessness and bravery aren't all that different. #TimHazel

TIMOTHY LUKE HAZELTON

NOM : Hazelton PRENOM : Timothy ÂGE : 27 ans PROFESSION/ETUDES : employé d'une société de webcast ORIGINES : Américain de naissance, avec des origines australo-grecque de par son père et italiennes de par sa mère. En résumé, vous mixez tout et n'importe quoi, vous obtiendrai ce mélange détonnant qui n'est pas si dégueulasse que cela au final. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel, mais si le karma me pousse à bout. STATUT CIVIL : radié du bonheur CARACTERE : fidèle, souriant, sportif, capricieux, extravagant, observateur, maniaque, têtu, passionné, mystérieux, colérique. GROUPE : Friends. AVATAR : Theo James CREDITS : Dreamy.

Pour toi, la famille représente quoi ? Ce mot me fait doucement rire tellement je n'en comprends pas le sens lorsque je retrace ma vie. Oui j'ai eu des parents, quatre pour le prix de deux également; mais que m'ont ils réellement apporté? Les uns m'ont délaissé alors que les autres n'ont fait que me mentir depuis le début. Une bien belle famille ca existe, mais seulement chez les autres.

Les amis, sont une seconde famille selon toi ? Il ne fait aucun doute que mes proches sont mes collègues qui sont devenus, de par notre proximité avec notre projet et notre société grandissante, ce cercle restreint dans lequel je parviens à placer ma confiance grâce à leur patience et leurs qualités. Eux parviennent à me supporter, et ce depuis plusieurs années, alors que d'autres qui portent le même sang que le mien n'ont pas montré ce courage. Pour en revenir à la question et y répondre, les amis ne sont pas une seconde famille, et ne définissent en rien la famille. C'est bien plus haut que ca, plus appréciable, plus remarquable. Moins lâche.

EN BREF

✜ Ne parlez pas de destin, de karma, ou de sens de la vie à Timothy; il risquerait d'immédiatement devenir irascible. Ces notions, il ne les comprend pas, et n'admet surtout pas que des choses agréables puissent survenir aux autres mais pas à lui.

✜ La confiance est quelque chose que Timothy donne très difficilement et après beaucoup de temps passé en compagnie de la personne. Son passé fait qu'il a été déçu par des personnes lui cachant la vérité des années durant et qu'il prend désormais tout propos avec des pincettes. Il peut même se montrer blessant malgré lui à pousser la personne franche dans son jusqu'au boutisme et à continuer d'insinuer qu'elle est hypocrite alors que ce n'est pas le cas.

✜ L'éclairage chez Timothy est sommaire et vous ne trouverez pas de lampe suspendue au plafond qui illumine toute la pièce pour y voir distinctement. Parce que Timothy adore les ambiances tamisées où s'accordent à merveille le strict nécessaire pour distinguer ce qui encombre l'espace et le calme apaisant des légers rayons de lumière. Timothy doit d'ailleurs redoubler d'efforts pour affronter les fortes luminosités du soleil en été, car il y possède une tolérence réduite. Il ne parvient d'ailleurs pas à dormir au delà de 8h30 du matin, ce peu importe le jour.

✜ Dans ce cadre de vie, Timothy joue fréquemment à la console de jeux vidéo. Tout un pan d'armoire est consacré à des accessoires pour différents jeux, que ce soit un pistolet muni de capteurs pour la précision virtuelle des tirs ou un volant de voiture pour les simulations de courses. Il s'adonne en moyenne hebdomadaire à une vingtaine d'heures sur des parties qui peuvent aussi bien être des plateformes d'aventures que des multiplay ou de la bonne grosse arcade de la vieille école.

✜ Bien qu'il regorge d'origines européennes tant par sa mère que par son père biologiques, Timothy n'a jamais mis les pieds sur le Vieux Continent. Il lui arrive de se demander comment sont les gens là-bas, s'ils sont différents des américains. Il ne sait pas quelle part de lui est européenne ni si ses défauts proviennent de là ou pas. il est tiraillé par un voyage outre Atlantique, car il craint d'être écoeuré de ce dépaysement. L'Europe c'est ringard et c'est anticonformiste, lui a t on fait comprendre.

✜ Rester enfermé ne plaît guère à Timothy qui sent toujours ce besoin d'être actif. Ca peut paraître paradoxal pour quelqu'un qui passe son temps penché sur des écrans et dans des cables de connexion, mais l'air frais est l'un des plus grands plaisir que Tim' éprouve lorsqu'il quitte un bâtiment. Il ne trouve pas toujours le temps qu'il voudrait pour profiter davantage de ce que la nature a à lui offrir, mais il prend chaque petit bout de sérénité que ces moments seul dans la vaste étendue de liberté lui apportent.

✜ Timothy est rarement chez lui, passant parfois plusieurs nuits de suite au boulot ou chez des connaissances. Des potes qui lui proposent volontiers de rester dormir après une soirée où ils se sont tranquillement posés pour discuter de tout et de rien pour en rigoler à chaque fin de phrase, il n'y pas meilleur hôtel à ses yeux. C'est comme ca qu'il a découvert sa dernière ex-copine avec qui tout a débuté au moment où l'avant dernier invité a senti le bon moment toucher à sa fin. L'ultime c'était Timothy, qui monopolisera les draps de son ex pour puiser le meilleur de ces prémices à deux

✜ Une histoire de courte durée; une de plus ! Publiquement, Timothy cache très bien ses états d'âme, mais le nombre de petites amies avec lesquelles il ne parvient pas à s'inscrire sur le long terme devient une inquiétude. Cette fille avec qui cela semblait si bien parti, elle a préféré mettre un point à ces premières lignes qu'ils avaient commencé à écrire ensemble. Il n'y a pas à dire, sentimentalement, Timothy tombe toujours sur des cas très spéciaux. Si Mission Impossible venait à être produit pour le grand écran, il pourrait postuler pour le rôle principal à coup sûr !

✜ Sans sucre ni lait, c'est avec simplicité que Timothy apprécie son thé, boisson qui est dans ses préférences lorsqu'il se rend au restaurant ou qu'il se prélasse chez lui après un repas. S'il y a une chose qui manque dans la ville, pour Tim' c'est un salon de thé !

✜ Maniaque des mains, Timothy s'est vu encenser pour ses talents de massages lorsqu'il s'est adonné pour la première fois sur le dos nu d'une ex. L'idée lui avait traversé la tête sans crier gare et les réactions furent probatoires. Le don était bien là ! Depuis, il offre des massages à volonté, même à des inconnus. Car les doigts sont les éclaireurs du contact humain. Les orteils aussi, mais avec les chaussettes, il y a un truc qui foire vous me voyez.

TOI, DERRIÈRE L'ECRAN

Robbie
Sur internet, mon pseudo est Robbie (du moins sur Bazzart). Dans la vie réelle, j'ai 25 ans. Comment avez-vous connu le forum ? par un chaton capricieux avec qui je vais encore me chicaner jusqu'à la déraison. Avez-vous autre chose à évoquer concernant le forum ? oui, j'aurais voulu cacher à ma mère que je le fréquentais (le forum, pas un autre homme) mais il s'avère qu'elle y est également dessus. Sur le forum, mon activité sera de passer de temps à autres, selon mes Rps en cours et la fatigue accumulée dans une période de plus en plus propice au chiffre d'affaires dans mes activités professionnelles. Pour l'instant, je dirais 5 jours par semaine (et ce n'est pas sa peau contre ma peau puisque je ne suis pas avec elle). Mon personnage est un BG de première classe qui a été proposé en tant que scénario par la mature mais pourtant fraîche et belle Julia St James.

A CHACUN SON HISTOIRE; A MOI MES BROUILLONS

Intro : Parce que ca fait toujours bien sur une shortcut video
Les années lycées, elles te passent soit comme une grisaille obscure soit comme un conte de fées. Dans mon cas, je ne suis jamais parvenu à me situer, ne me sentant jamais la moindre fois en danger dans ce milieu pubère mais mais ne voguant pas sur les plaisirs les plus exquis qu'un adolescent puisse y trouver en s'y intégrant de manière optimale. J'ai parcouru les cycles d'enseignement au même rythme que la majorité de mes camarades, et attendait parfois impatiemment les sonneries qui annonçaient la pause de dix heures ou de midi. A ces moments là, la mixité était abolie et les garçons que nous étions nous retrouvions entre nous dans cet espace ouvert fermé par l'enceinte des bâtiments. Les filles avaient quant à elles leurs propres sujets de discussion. C'était excessivement rare de voir les deux sexes se mélanger en grignotant un en-cas et en tirant sur la paille d'un jus de pommes dont l'emballage cartonné finissait par être gonflé pour se voir éclater quand son propriétaire s'amusait à sauter à pieds joints une fois vide. Le décor était planté, avec ces rondes homogènes et une poignée de spécimens atypiques qui se tenaient à l'écart, invisibles pour la plupart et jalousés par quelques uns, liés par la main car c'était là le seul affichage permis par le règlement en ce qui concernait l'expression amoureuse de deux lycéens. S'ils voulaient étaler leur passion commune, ils devaient se risquer à trouver un coin calme dans les couloirs de classe qui étaient surveillés puisque ils étaient censés s'avérer désert quand tout le monde respirait une grande bouffée d'air au milieu d'une journée de cours.

The saddest part is I've been distant since I was sixteen
Comme un tournant dans ma vie, j'ai vu cette séparation dans la cour de récréation davantage marquée dès le jour où j'ai appris que j'avais été adopté. Ca a claqué dans l'air je ne sais plus quand, un soir de printemps assurément, et une certaine image de l'idéal s'est effondré avec ces révélations. Mes faux parents ont tenté de recoller les morceaux en prétextant me protéger pour que je vive une enfance agréable et paisible et que je ne me torture pas avec cette situation qui était la mienne depuis le départ; avant même que je ne souffle ma toute première bougie. Faire ca pour mon bien ? Et je devais les croire là dessus ? Impensable. Même pas avec la plus grande volonté du monde on pouvait se laisser leurrer à leur donner une once de crédibilité. Tomber dans le panneau n'était que pour les naïfs. Mon crush du moment a commencé à me trouver de plus en plus renfermé envers elle, et je ne savais que lui répondre les fois où je l'empêchais de s'asseoir sur mes genoux lors des virées au parc sur les bancs publics. Je n'avais plus la vision de nous deux heureux depuis que j'avais appris ce que j'étais véritablement: de la marchandise qu'on revendait à quiconque se montrait intéressé et disposait du montant prévu pour l'achat. Alors qu'au début de notre relation, c'est-à-dire deux semaines plus tôt, j'étais emballé à l'idée de lui décocher une galoche sous le portique du lycée avant d'en être privé jusqu'à au moins l'heure du déjeuner si pas seize heures trente, je ne faisais plus que répondre à ses initiatives par des baisers brefs. Notre amourette perdait de sa légitimité pendant que je m'orientais vers un goût prononcé pour l'économie; et elle pour le social. Nos chemins divergèrent de plus en plus et elle trouva rapidement une bouche plus avide que la mienne pour la remplacer et poursuivre ces spéléologies du palais au détour d'un arbre ou d'une colonne massive leur conférant plaisante intimité. Un kiss, un smack, ca s'envoie comme du courrier postal. Pour être certain de convaincre, il faut l'envoyer en recommandé. Sauf qu'avec moi c'est devenu indésirable; classement vertical dans les spams.

Hey nineteen! No we got nothing in common. No we can't talk at all
L'entrée dans la vie universitaire a marqué le début de mon indépendance vis à vis d'un couple qui s'est fait passé pour mes parents et ma famille. J'avais ce besoin de partir, de quitter cette maison pour faire le point sur mon enfance et sur les faits malgré ce qu'il en avait réellement été. J'ai longtemps hésité à prendre la destination la plus lointaine possible de Tulsa, mais l'Oklahoma c'est vraiment l'état le plus au centre des States. Finalement, je me suis décidé à prendre la cap de l'Oregon pour entamer un cursus en communication. L'autonomie m'a posé des difficultés d'adaptation moins évidents que ce que je n'aurais pu imaginer, mais heureusement que le contact avec autrui n'a jamais été une montagne insurmontable pour moi. J'étais devenu spontané et sarcastique envers les gens et plus particulièrement la gente féminine que je n'avais plus fréquenté aucune fille du lycée, mon regard sur elles complètement tronqué par ce vécu qui m'étouffait par moments. J'étais devenu verbalement violent et toutes craignaient désormais de faire un pas vers moi. Je n'ai pas pour autant changé mon fusil d'épaule avec le déménagement en solitaire, même si ne plus voir certains hypocrites me soulageait un tant soit peu. L'université n'était pas non plus le lycée, et je marchais dans un fourmilière vers des auditoires où s'entassaient une centaine d'autres personnes autour de moi et de ma planchette rabattable devant le siège dont j'avais pris possession. Mon indifférence pour les autres cours que ceux relatant d'économie persistait, et l'année s'écoulait sans vague à proximité du Pacifique. La seconde année a pourtant vu une avancée dans mes relations conflictuelles avec les femmes. L'une d'entre elles, à peine un an plus âgée que moi, venait de recommencer son année. De semaines en semaines, et de devoirs communs en devoirs communs, son comportement changeait et elle se permettait - au delà des familiarités que je concevait aisément entre étudiants - des remarques de plus en plus salaces, auxquelles elle piaillait d'elle-même. Cinq mois plus tard, c'est sa literie qui couinait après une demi année à repousser l'échéance à chaque fois qu'elle me provoquait gratuitement avec sa frimousse feintant l'innocence d'une manière si théâtrale. Elle surmontait cependant cette barrière que je plaçais entre elle et moi, et parvenait à me provoquer. Sa cuisine était excellente, et les bouteilles d'alcool qu'elle stockait en plus grand nombre à chacun de mes passages dans sa chambre universitaire. Elle s'impatientait peu dans ses tentatives précoces de me voler la seule chose que j'avais conservée intacte depuis ma naissance, mais se montrait de plus en plus insistante. Jusqu'au jour où j'ai concédé à le lui offrir, dans le noir complet devant sa volonté à se cacher de ses complexes. Or, nos corps l'un contre l'autre me révélaient tout. La jouissance n'a alors jamais aussi mal porté son nom quand me corps s'est décidé à ponctué nos ébats. C'était .. tout. Aucune sensation à l'intérieur de moi ne s'était propagée et je n'avais rien ressenti de spécial. Par acquis de conscience, j'ai réitéré l'expérience avec elle, sous ses demandes incessantes de le refaire et même deux fois de suite si je m'en sentais capable. J'ai changé d'approche, de position, je l'ai retournée dans tous les sens sans jamais découvrir ce nirvana ni même un semblant de secousse. Pendant ce temps, elle était poupée agitée sous mon emprise; gesticulante quand elle me chevauchait, vibrante lorsqu'elle encaissait. Je n'aimais pas la voir devenir objet autant que je n'aimais pas me voir inactif. Bouge le bassin, quel exercice ridicule honnêtement. Puis ce différentiel de sensations entre le néant me parcourant et la foudre la remplissant à la rendre électrique. Un court circuit l'a secoué, provoquant la fonte du fusible qui nous unissait. Penché au dessus d'elle, je lui ai dit que c'était fini; ce à quoi elle m'a répondu entre deux râles bruyants que c'était bon et qu'on recommencerait plus tard. J'ai alors estimé les dégâts causés sur ce câble brûlant liquéfié, puis j'ai répété que c'était fini. Elle ne semblait pas comprendre même si elle devenait inquiète à mon redressement. Repassant ma jambe au dessus de son ventre, je me suis extirpé du lit en prenant soin de ne plus la toucher. J'ai alors enfilé mes vêtements pour entendre ses premières gueulantes pour ensuite disparaitre dans le couloir de ces appartements mis à la disposition des universitaires inscrits. C'était la première quinzaine de mai, à l'approche des partiels, cette période que j'ai traversé harcelé par les cris et la colère de celle qui paradoxalement me clamait que j'étais son premier. Elle s'est essoufflée après avoir essuyé mes refus de reprendre notre relation en y apportant quelques modifications pour qu'elle perdure, puis elle a quitté l'Oregon pour New York je pense. C'est comme quand on jette un mail à la corbeille, on a toujours l'opportunité de le récupérer au cas où on aurait fait une fausse manipulation. Mais on a également l'option de le supprimer définitivement. Nous ne nous méritions pas ni l'un ni l'autre.

There are twenty years ago; the faithful and the low
Ma troisième année fut contradictoire avec ce que je venais d'approfondir dans une relation de proximité homme-femme. L'âme du guide qui sommeillait en moi m'a engagé dans des cours de tutorat et je suis devenu l'enseignant par procuration d'un groupe de filles de première année. Dépassant le cadre scolaire, il nous arrivait de prendre un verre où d'aller manger un bout ensemble dans la continuité de nos rapports maître-disciple. C'est dans ces moments là que j'ai appris à mes dépens de quoi des filles pouvaient être capables; surtout à plusieurs. Pousser l'une d'entre elles dans les bras du charmant étudiant à la rescousse dans une matière où elle possède des carences, l'anglais en l'occurrence - comble pour une européenne qui vient étudier aux USA -, elles y parvenaient bien. Il y eu dès lors des percées d'intimité avec l'une d'entre elles et une poignée de soirées passées à l'étage de chez son père. Mais ce rapprochement n'arrivait, sauf contacts plus charnels, pas à la même hauteur que ma courte idylle de lycée quand j'avais seize ans. Cette nouvelle relation s'apparentait davantage à un flirt léger qu'à une inscription sur la durée. D'autant plus que je me suis rapproché dangereusement d'une ancienne collègue qui a changé d'orientation à la fin de notre première année pour aller étudier la littérature à Seattle. Nous nous voyions régulièrement et ce n'était uniquement qu'avec elle que j'acceptais d'aller perdre mon temps dans des magasins lors des périodes de démarques. Elle a été la première femme face à laquelle j'ai contracté des crampes au niveau de l'estomac suite à un échange de regards assis à la table d'un bistrot. L'étreinte que nous partagions, annonciatrice d'un départ imminent avec l'absence qui s'en suivrait me prenait aux tripes et je prolongeais notre enlacement toujours un peu plus. Et je m'en allais retrouver Portland et cette bleue dont le parfum ne me disait pas grand chose. Mais ma main traînait sur sa peau une fois par semaine pendant que j'attendais vivement la prochaine fois que celle de Seattle me donnerait le feu vert pour la rejoindre. Elle a changé trois fois de boyfriend en autant d'années, mais ce qui aurait dû me faire réagir me devenait futile lorsqu'elle m'avouait, bière sur le comptoir, que j'aurais été un petit ami idéal si elle n'avait pas déjà quelqu'un dans sa vie. Ces mots se sont inscrits dans ma mémoire pour ne jamais en repartir. Par contre, la tutorat prenant fin et notre relation n'évoluant pas, nous avons estimé avec le jeune de dix huit ans qu'arrêter ce simulacre de couple était la meilleure chose à faire. Nous consentions à oublier les quelques moments d'égarement lors de cette année écoulée où son anglais ne s'est que sensiblement amélioré.

Entracte, les enfants. Cacahuètes salées? Caramel? Popcorn?
L'éphémère a également carillonné dans les montagnes russes de mes émotions. C'était une canadienne qui aimait faire la fête et qui voulait m'aspirer à chacune de ses soirées où la moitié des présents se la jouaient en mode chacal à choisir une proie parmi toutes celles qui étaient venues pour cela. Je me suis rapidement posé la question de savoir ce que je foutais dans un lieu pareil, malgré que nous laissions au bout de notre troisième entrevue la transe et les décibels ambiants de la boite de nuit pour un concours de rodéo dans son loft près de Vancouver. J'étais le taureau qu'elle parvenait facilement à dompter puisque je n'opposais que très peu de résistance désormais. La fusion avait déjà un autre goût, plus relevé, que celle rencontrée avec la doubleuse. Mon orgueil et ma fierté avait implosés entre-temps et j'avais gagné ce sentiment de puissance. Mais le caractère de la canadienne ne correspondait pas à la ligne de conduite qu'elle tenait habituellement. Dominée dans les moments critiques, elle tentait de devenir dominante l'autre moitié du temps où je diminuais mon influence sur ce que vaguement nous formions depuis peu. Elle se montrait jalouse et hyper possessive, ce qui me rendit d'abord hilare avant de fulminer à chacune de ses crises. La cinquantième en moins d'un an a eu raison de nous. J'ai envoyé ses remarques dans les roses, elle l'a mal pris et j'ai surenchérit dans la critique jusqu'à la pousser à bout et lui faire comprendre que je ne serai pas celui des deux qui irait dans le merdier pour récupérer ce sur quoi nous venions tous les deux de cracher. Je n'ai plus jamais reçu la moindre invitation par texto de sa part, et ai appris plus tard de la bouche d'une connaissance commune qu'elle était mythomane et que on histoire de fausse couche à l'âge de quatorze ans était montée de toute pièces. J'ai revu mon amie partie à Seattle qui m’annonça que j'étais tout pour elle; que j'étais sa vie à toujours être présent pour elle quand le moral ne suivait pas. Je n'ai pas compris qu'elle puisse utiliser des mots pareils alors que .. Et elle se plaignait de son boyfriend trop peu attentionné mais avouait sa faiblesse à ne pouvoir le quitter. Elle était l'incarnation même de ce que je ne parvenais pas à concevoir chez une femme. Incertaine, elle l'est encore restée lors de nos coups de fil réguliers. Mon oreille n'a jamais autant chauffé depuis que je suis né, à passer trente voire quarante minutes suspendu à sa voix au téléphone. Elle me parlait de cette angoisse perpétuelle de manquer de tact envers son copain depuis qu'elle s'était entichée d'un collègue à son boulot qui de son côté était déjà marié et père de deux enfants. Elle me décrivait une attirance mutuelle soudaine, et je l'écoutais souvent vers 20 heures, remplaçant le journal télévisé, me déblatérer ses scrupules et tout ce que je ne comprenais pas. Elle cherchait des réponses à travers moi, mais je ne parvenais pas à lui proposer quoi que ce soit. Elle avait dit que j'étais de loin sa meilleure alternative dans l'hypothèse où son boyfriend n'aurait pas existé, et voilà qu'elle partait sur une autre piste. Comme le dirait l'adage, depuis l'eau a coulé sous les ponts. Ceux-ci qui nous font passer d'une rive à l'autre mais pour lesquels nous avons de moins en moins d'égard. C'est ce que je me suis évoqué. Et si j'étais sensible, j'aurais chanté Bridge over trouble water de Simon et Garfunkel.

The worst of starts, the mercy part, the phone
A se croire atteindre le statut d'invincible, il se produit que l'on se fait prendre à notre propre jeu. Sentimental je le suis devenu avec cette fille passionnée de boxe et de sports en général. On s'est vus pour la première fois à la salle de fitness du quartier, et la probabilité d'échanger des mots grandissait à chaque passage où je l'apercevais sur une machine et qu'elle constatait que je revenais moi aussi. Ca n'a pas manqué lorsque nous avons choisi de garder la forme sur deux appareils mitoyens. Alors qu'elle pédalait sur le vélo et que je courrais sur le tapis roulant réglé sur la quatrième des sept vitesses proposées, le silence fut abrégé. Ses mots donnèrent de suite le diapason de sa position. Droite et pleine - trop - d'assurance, elle fixa un point au loin dans la vitre tout en m'adressant la parole sèchement. "On va songer à se dire bonjour un jour où on continue à faire semblant que l'autre n'existe pas?" Le son est resté le même de la majuscule au point final, sans défaillir. J'étais impressionné. Et ce n'était que le début. Âgée d'une paire d'années en moins que moi, elle avait ce toupet de faire face et de vouloir m'être supérieure. Il était coriace de la déstabiliser en la prenant à revers et me donnait du fil à retordre que j'ai pris du plaisir pour la première fois avec une femme de cette manière, dans des joutes verbales parfois sans logique ni sens. on se souriait peu au début, affichant notre expression la plus sérieuse et alignant des mots parfois crus à la limite d'être vexant. Nous nous sommes d'ailleurs déjà séparés à maintes reprises avant même d'être ensemble. Je ne me souviens pus qui a cédé pour la première entre nous, mais l'autre a craqué en même temps, et se retrouver deux fois puis trois puis quatre fois par semaine nous permettait d'évacuer un certain stress grâce à la présence de l'autre et de simples discussions à bâtons rompus. A se demande, nous avons ralenti la cadence, redescendant à deux séances collectives hebdomadaires. Elle avait ses raisons qu'elle m'évoquera pèle-mêle le jour de ses adieux: elle ne voulait pas s'attacher trop vite, trop violemment. Nous avions dépassé le stade taquin pour entrer dans le phase virulente. Nous nous consentions des injures, des coups de putes dans le dos et des coups de poings physiques. Rien de cela ne faisait mal; ca nous raffermissait fortement. J'étais prêt à donner une définition au sens aimer dans lequel le sexe n'a qu'une place accessoire alors que beaucoup sont convaincus de l'inverse. Jamais nous n'avons couché ensemble, et pourtant il s'avérait qu'elle s'aventurait dans ma plus agréable et plus passionnante relation. Je m'épanouissais et trouvais enfin ce plaisir longtemps recherché; il était contenu dans ce que des personnes fragiles peuvent craindre: les mots. Leur pouvoir est tel que l'emploi de l'un au lieu d'un autre apporte une modification littérale au sens évoqué. La proportion de proximité physique sur base du temps passé ensemble était dérisoire avec cette charmante provocatrice qui s'amusait de remuer mon égo autant que je lui rendais la pareille au centuple avant qu'elle ne réplique exponentiellement. Notre orgasme c'était de voir l'autre céder complètement, les nerfs démontés et la rage dans ses yeux emprunts d'envie. Celle de me rendre heureux, ce qu'elle réussissait à merveille. Ces prunelles délicieuses, j'y ai plongé tant de fois les miennes et ne redemandait plus qu'une seule chose; celle de pouvoir les contempler éternellement. Seulement, le moindre clignement de sourcil peut tout faire disparaître. Cet ange voulait tenait à me parler de quelque chose d'important, et moi je lui ai dit qu'elle pourrait m'expliquer tout ce qu'elle voulait après que je revienne de la douche, car je me sentais poisseux de l'effort fourni sur le pédalier. Elle a précisé "si tu pars ce sera trop tard", ce à quoi j'ai souri, lui rétorquant que je n'aurais pas le temps de lui manquer que je serais de retour pour l'écouter jusqu'au matin suivant si elle voulait me narrer un roman. Sauf que je n'ai pas mesuré l'étendue de ses propos, les attrapant avec bien trop de légèreté à leur fuite d'entre ses lèvres. Ils étaient sérieux et solennels, présages d'un malaise déchirant. Ma serviette encore chaude et humide par dessus l'épaule, je me dirigeais vers l'endroit où j'avais laissé celle qui aura marqué mon coeur de son empreinte. Ma démarche était franche et enjouée. Trop. J'étais seul dans la salle; délaissé avec un bout de papier sciemment placé en évidence dans mon sac de sport. Toute cette distance qu'elle avait tenu à placé entre nous quand elle constatait qu'on se rapprochait trop, c'était volontaire de sa part. Gribouillés sur un coin de feuille, les mots me sautaient et explosaient dans mon esprit. Je ne le pensais pas capable d'aligner ce genre de considération d'elle-même; de coucher noir sur blanc qu'elle ne se sentait pas faite pour moi mais que je méritais mieux et que je trouverai la femme parfaite pour moi vivre un véritable conte de fées. Elle se cataloguait de conne, à avoir tenté de me raisonner, de me faire prendre conscience et de me rendre meilleur pour moi-même. Elle l'avait écrit de son plein gré: elle descendait des planches de ma vie. Clap de fin. Et par tous les moyens, j'ai tenté de la retrouver malgré ses indications que je n'y arriverai pas. Mais elle détenait toute la vérité. Sur moi. Comme ce mail qui contient une information capitale qu'on est persuadé d'avoir lu, mais qu'on ne retrouve pas, même dans la corbeille. Illusions envolées.

The best of starts, the broken heart, the stone
Je me disais qu'il valait mieux que je me fasse une raison et qu'on ne m'y reprendrait plus. J'ai arrêté de chercher en une femme ce qu'elle pouvait apporter à l'homme que je suis. Mais de si beaux point de vue ne pouvaient qu'être réduits en miette à la moindre incartade. Au cours d'un déplacement professionnel à l'autre bout du pays, j'ai été hébergé par un collègue dans les télécommunications et le développement webmarketing. La journée, nous planchions sur des projets partenaires et le soir nous nous reposions les méninges en terrasse autour d'un grande table en bois prévue à cet effet avec ses enfants et sa compagne. Nous étions six au total à nous entraider pour allumer le barbecue et préparer les salaisons. Les voisins sont arrivés avec une de leur fille et nous avons vidé le plateaux d'amuse gueules en comité plus large. Ceux de passage pour quelques instants restèrent un peu plus d'une heure, ne rentrant dans leur demeure de l'autre côté de la palissade qu'au moment où le fumet des viandes était un envoûtement à lui seul. Les salutations furent le préambule du congé qu'ils prirent pour la soirée où les grillades virevoltèrent en suspens au delà des dalles carrées d'un brun vif menant au centre des convivialités. Puis nous avons pris nos quartiers pour être d'attaque le lendemain matin très tôt. L'après midi fut consacrée à la découverte de la ville, guidés par la fameuse fille des voisins qui nous convièrent à un match de basket-ball deux jours plus tard. Par principe d'affinités, j'avais la place à l’extrémité de la rangée et les deux figure paternelles étaient assises au centre de notre contingent, avec l'unique garçon entre eux et moi. Les femmes suivaient ver l'autre extrémité avec respectivement les épouses puis trois des sept filles au total. L'aînée avait rendu le patriarche grand-père treize mois plus tôt tandis que les deux autres étaient plus jeunes à intervalles semblables. J'eus droit à la conversation avec tout le monde, parents et descendance mélangée. Comme sur le retour où, numériquement disproportionnés pour que la famille entière se case dans le même véhicule, nous avons équilibré le nombre de personnes dans chaque voiture. La guide de l'après midi se joignit dans notre habitacle, sur le siège arrière contre la portière gauche. Le benjamin de mes hôtes occupait l'espace vide et se penchait sans cesse en avant pour débriefer du match avec son père qui conduisait. Avec la fille, nous nous sourions une fois de plus autour de l'emballement du jeune garçon à commenter la victoire de l'équipe locale. L'air conditionné était cassé et je n'avais pas d'option sur l'accoudoir externe pour baisser la vitre et goûter à l'air frais qui claquait encore plus avec la vitesse de la voiture. Ma main s'est dérobée en catimini dans le dos du petiot pour obtenir la permission des doigts de la fille au sourire de laisser les miens se caler contre sa paume et enrouler ses phalanges. Sa réaction fut muette et passive avant de commencer à tourner son index le long du mien. Elle observait devant elle, vers le bitume perceptible à travers le pare brise, et se mordillait la lèvre inférieure à deux reprises. Figés par les passagers qui pouvaient percevoir le moindre de nos réajustements de position sur cette banquette arrière, nous nous satisfaisions de ses caresses. mes égratignures se cicatrisaient dans ce monospace qui finit par s'arrêter devant les domiciles de ces deux familles. Le gamin se jeta en arrière et broya mon avant bras qui me fit lâcher prise. Il s'excusa avec innocence et je le pardonnais pour un geste brusque sans grande conséquence. Empruntant des allées jointées différentes pour pénétrer sous le bon toit, nos mains se gratifièrent. La mienne se tourna vers cette fille que je retrouvais avec bonhomie au repas de midi suivant. Assis côte à côte, nos digits se retrouvèrent toujours en cachette, protégés de toute curiosité par la nappe à motifs pastel recouvrant le lieu du festin. Je parcourais tantôt les sinuosités du revers de sa main, tantôt la courbe de son genou qui venait frivolement toucher le mien quand elle se dressait à moitié pour attraper un plat quelconque. Mais c'était là mon dernier jour avant de prendre le vol retour à l'autre bout du ~~monde~~ pays. Je l'avais récupérée lorsqu'elle s'était éclipsée pour aller aux toilettes, et nous sommes restés là sans rien dire pendant d'interminables secondes. Puis elle a baissé la tête pour me demander "Ca va nous mener où tout ça?" Je n'en avais strictement aucune idée, mais j'y croyais. Je venais de craquer alors que je m'étais juré de ne plus retomber dans ces travers. J'avais cédé à nos regards, certain qu'ils signifiaient quelque chose de particulier. Loin d'elle, ma tête s'est mise à travailler, à réfléchir sur ce que nous pourrions devenir. Cette étrange sensation de n'être maître de rien et d'être suspendu à l'approbation de quelqu'un pour pouvoir avancer et espérer construire des fondations pour des projet plus vastes à l'avenir. On a correspondu par Messenger des mois durant avant de trouver un créneau qui nous arrange tous les deux pour que je m'organise une nouvelle tournée américaine. J'ai eu des soucis avec la réservation d'une voiture de location sur place, alors elle a pris la peine de venir me chercher à l'aéroport et je ne suis parvenu à l'autrement qu'en lui échangeant un baiser. Je n'avais jamais entrepris un tel périple pour une fille ni était descendu à ce point, mais il y avait quelque chose en elle qui me faisait complètement disjoncter à l'intérieur. Une semaine, c'était le temps que nous nous étions donné pour reprendre les choses lentement, à notre rythme. Une relation était la chose qui lui était entièrement inconnue, et elle comptait sur moi malgré que je n'avais pas l'expérience la plus vénérable dans le domaine. Je tentais comme je pouvais de lui faire découvrir ce qu'un homme pouvait faire ressentir à une femme physiquement, sans briser sa virginité. Je me retenais d'ailleurs, car je ressentais cette envie de franchir cette barrière avec elle qui prétendait clairement le vouloir mais ne pas vouloir le regretter. Je lui donnais du temps, beaucoup, pour revenir une troisième fois chez elle une demi-année plus tard. Nous avons repris où nous en étions arrivés. Perdus au milieu du désert de nos désirs, je réitérais les mêmes gestes, sur les mêmes parties de son corps. Je lui murmurais au creux de l'oreille une langue céleste qui me conférait un aura supplémentaire pour la soigner de ses maux. Elle avait ce foutu défaut de ne pas être sûre d'elle et de se trouver inutile, pas belle, et inintéressante. Je faisais mon essentiel et ma priorité de lui faire changer la perception qu'elle avait d'elle-même; et tout commençait par lui montrer que d'autres personnes pouvaient se satisfaire et se plaire avec elle. Peu bavarde pour la parlotte, elle gémissait davantage quand je m'occupais plus pragmatiquement d'elle. Enfuie dans le matelas sous la pression de mon index et de mon majeurs liés dans le délit des plaisirs, j'aurais pu faire d'elle ce que je voulais mais je ne l'ai jamais fait par respect. Puis aussi parce que le faire avec elle n'aurait eu aucun sens plus profond que celui d'être là pour elle. Je lui ai rassuré que je serais là pour elle et que je l'attendrai patiemment jusqu'à ce qu'elle se sente disposée à vivre ces petits extras d'un couple. Oui, je me voyais déjà père; j'avais rapidement changé. Mais moi je serais un père fière de son enfant si c'était d'elle principalement qu'il tenait. Je voulais une fille à son image. Je ne sais pas pourquoi je préférais engendrer une future femme solide, mélange de mon assurance et de la beauté de sa mère. Destin foutu, croquis raturé et déchiré; c'est mon coeur qu'elle a compressé puis jeté en pâture quand elle m'a annoncé qu'elle ne ne souhaitait pas que je sacrifie autant pour elle. J'ai tenté de la raisonner par divers moyens; par des mots doux, des certitudes pour remplacer ses inquiétudes, des gestes pour rallumer ce feu sacré en elle. Je lui ai même offert des fleurs, moi qui trouve ce genre de cadeau d'un ridicule affligeant. J'ai tourné ses peurs dans tous les sens pour les passer à la déchiqueteuse, mais c'est moi qui suis tombé dedans. Elle me le répéta qu'elle était désolée et qu'elle avait fait les efforts maximum pour s'ouvrir mais qu'elle ne parvenait pas à se sentir à sa place dans les bras d'un homme. Qu'elle ne se sentait pas faite pour être aimée et chérie. Qu'elle .. continuera pourtant à évoquer cette avènement en moi d'avoir rencontré celle qui me semblait le juste milieu parmi toutes celles qui avaient traversés d'une manière ou d'une autre et à chacune leur degré et importance diverse ma vie. Quand la perfection est proche, elle devient une énigme pour elle même et se rempit de modestie à tel point de ne plus être en mesure . Ma juste mesure, j'aurais pensé que c'était elle. J'y crois encore, même si l'espoir est désormais devenu autant en voie d'extinction que les textos et les accrochages qu'on s'accorde encore sur Messenger. Je lui ai conseillé de se regarder dans un miroir et d'avouer toute la beauté dont elle regorgeait. J'aurais dû l'obliger, la forcer. Tant pis si nous ne sommes plus ensemble aujourd'hui, mais mon bonheur serait qu'elle trouve le sien. Moi de préférence, c'aurait été parfait. Mais je dois effacer l'encre et lever l'ancre. L'encre ment, mais sûrement.

Générique de fin
Quelque chose fait vraisemblablement défaut chez moi pour m'attacher à des filles inatteignables, lunatiques, surprenantes de désespoir ou trop fragiles pour supporter ma présence et ma patience envers elles. Là où je commençais à croire qu'établir une relation avec une femme consistait en une épreuve d'un degré de difficulté extrême, je me demande si ce sont bien les femmes où si c'est moi, mon karma ou je ne sais pas quoi qui les repousse d'une certaine manière à un moment donné. Ou alors, je tiens de mes parents, et bien fait pour ma gueule, j'avais qu'à réfléchir avant de taper des mains et des pieds pour voir la lumière hors du ventre de ma mère. Je ne suis pas suicidaire au point de penser que j'aurais dû crever dans le liquide amniotique, noyé à jamais dans la pataugeoire, ce qui m'aurait évité d'avaler la tasse dans la grande profondeur; mais j'ai de quoi me question très sincèrement sur ce relationnel. Et je n'en démords pas qu'avec des parents plus matures, j'aurais eu les gênes de compétition pour réussir sentimentalement. Mais le principal est que je sois épanoui professionnellement et que je mène ma vie sans Dieu ni mère.

bienvenue

Bienvenue parmis nous

Theo

Le Chaton, sais-tu ce qu'il te dis ? moh

Bienvenue parmi nous Robin Wood, hâte de lire ta fichounette. Laughing

Bienvenue par ici hello

Bon courage pour ta fiche.

bienvenue avec ce charmant théo

Welcome

Kiara Bonnatti a écrit:: Le Chaton, sais-tu ce qu'il te dis ?
Bienvenue parmi nous Robin Wood, hâte de lire ta fichounette.

Je suis entièrement à l'écoute du Chaton; que me dit-il ? Encore quelque chose de nébuleux pour mon esprit ? drunken

Ou il s'entête dans ses jeux de mots très limites ?

Merci à tout le monde pour vos magnifiques smileys accompagnant vos messages lapin

Le beau Théo !

Bienvenue ! love

Timothy Hazelton a écrit:

Kiara Bonnatti a écrit:: Le Chaton, sais-tu ce qu'il te dis ?
Bienvenue parmi nous Robin Wood, hâte de lire ta fichounette.

Je suis entièrement à l'écoute du Chaton; que me dit-il ? Encore quelque chose de nébuleux pour mon esprit ? drunken

Ou il s'entête dans ses jeux de mots très limites ?

Merci à tout le monde pour vos magnifiques smileys accompagnant vos messages lapin

Le Chaton il te dis la même chose depuis quelques jours, mais heureuse de te voir parmi nous même en Taylor Rolling Eyes

J'attends tout de même le meilleur lien qui puisse exister Wink

Taylor ? Trop subjuguée Chaton; tu galères à rester concentrée et lucide dès que tu m'écris. Surprised

Bienvenue

Je n'ai même pas posté là, mère indigne que je suis mdr

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Encore bienvenue parmi nous, et si tu as la moindre question n'hésite pas à bombarder ma boite mp Smile

.

J'ai appris à répondre à la moindre de mes questions depuis ma plus jeune enfance; je ne vois pas pourquoi je me mettrais désormais à quémander des réponses à gauche à droite. Indigne, ca te va à merveille, Mère.

Merci la marbrée trop craquante cute

Et ca me fend le coeur, mais merci aussi, Mère.

PS : sortie ce soir (je me fais mes pâtes carbonara dans 30 minutes et je file directement après la vaisselle Mad

), courses de la semaine demain matin et boulot demain soir. Je risque de mettre un peu plus longtemps que la moyenne pour terminer cette fiche. Pour info, je suis pas la personne la plus rapide au monde pour Rp ni pour compléter une fiche cache